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Bio

publié le 1er août 2013
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Du grain au pain (printemps 2013)

Du Béarn au Pays basque, du meunier au boulanger, le pain est bien plus qu’un symbole... du travail, du savoir-faire et beaucoup de passion !

publié le 7 mai 2013

Dans le cadre d’un projet professionnel autour du pain, Véronique Laherrère, professeur de pâtisserie au lycée "Haute-Vue" de Morlaàs, m’a entraîné dans une folle aventure, comme je les aime.
Du grain au pain... ou presque.

Malheureusement, ce n’était pas la bonne période pour voir les champs de blé de Philippe Racine, producteur de céréales du Domaine Bioagricola à Bougarber, mais ce n’est que partie remise...

Les autres étapes ont bien été respectées : du moulin de St Pé-de-Léren, avec le sage Jean-Paul Dufau, en passant par les salines de Salies-de-Béarn (sans sel... pas de pain), avant de terminer en beauté chez le passionnant Bernard Darrigues de la boulangerie-pâtisserie du même nom (de père en fils et peut-être à petit-fils...), à Saint-Pée-sur-Nivelle !
Et justement, à cette époque venait juste de sortir du four (ou presque...), le pain basque "Herriko", fierté de Bernard Darrigues et de ses collègues. Une idée à suivre...

Chez Chloée ? Une succulence !

Restaurant - Salon de thé ? Pâtisserie - Brasserie ? Sur place ou à emporter ? Chez Chloée, place du Foirail à Pau, c’est un peu tout cela, pour notre plus grand plaisir.

publié le 30 avril 2014

C’est en début 2012, que Chloée et Philippe ouvrent leur salon de thé/restaurant, dans la capitale béarnaise. Le lieu, Chez Chloée, est à leur image et ce qu’on peut y déguster est une succulence !
Très vite, le bouche à oreille fonctionne et, aujourd’hui, la réputation de l’établissement n’est plus à faire.

Vigneron bio, de la terre au vin

Parcours de vie sur le terroir du jurançon

publié le 22 août 2009

Décidé à faire une série de reportages sur le monde paysan, j’étais à l’affût sur le marché bio au foirail de Pau.
Tout content d’avoir déjà rencontré un producteur de fromage de brebis, j’étais à la recherche d’un maraîcher...

Berger au pays de l’ours

Pastoralisme transhumant au fil des saisons

publié le 13 novembre 2004

Comme souvent, l’histoire est simple : mélange d’envies et de rencontres.
Par un froid et sec samedi d’hiver, j’étais au marché bio de Pau. Là, dans le simple présentoir fait de bois et de verre, les fromages en question étaient tellement beaux... qu’ils me semblaient vivants !

La forêt, source et ressources...
tout un programme !

Pour marquer le début de l’automne, le réseau des médiathèques de l’agglomération paloise, propose tout un travail sur le thème de la forêt.

publié le 18 septembre 2014
Je dois l’avouer, je suis un peu passé en force pour faire partie du jury du concours photo organisé par le réseau des médiathèques de l’agglomération de Pau-Pyrénées au printemps dernier... Il faut dire que le thème de ce concours me titillait particulièrement ! Merci à toute l’équipe et bravo pour la qualité des nombreuses animations proposées.

Bref, ça y est, les photos ont été choisies et accrochées (médiathèque André Labarrère). Vous pouvez consulter tout le programme ici ou là ->
Programme.
AVANT : forêt de bouleaux, plantée par Fernand, le long de la rivière le Gabas.

Alors ? Pourquoi cette envie ? Pas seulement par curiosité, mais aussi par engagement.
Il y a plus de 10 ans, je réalisais un reportage intitulé "Pour une eau vivante !" qui illustrait le combat d’opposants à la construction du barrage sur le Gabas et donc, contre la destruction de tout un éco-système.
AVANT : chênes centenaires près de la ferme Pécassou
APRÈS : Fernand ne peut que constater la destruction du site et de sa forêt.

Malgré une victoire administrative (pas encore une phobie...), sous la pression des élus, le barrage a été réalisé.
Ce "réservoir d’eau" était au départ prévu pour irriguer le maïs landais (?), mais quel en est son utilisation réelle au final ?.
APRÈS : les bulldozers ont fait tout le boulot... ou presque.

Les Chemins du Goût mènent à Billère...

C’est le jour J au tout nouveau centre d’animation le Lacaoü,
pour le lancement officiel des Chemins du Goût.

publié le 9 octobre 2015

Après la fin de l’aventure de la Ferme du Goût à Pau, Philippe Berthélémy (Gastro-entérologue au Centre hospitalier de Pau, Conseil en nutrition) et Gilbert Dalla Rosa (Président de Slow Food Béarn) n’ont pas baissé les bras et voici les "réfugiés" prêts à continuer leurs projets sur les terres billéroises.

On connait l’importance de l’alimentation sur la santé et ses conséquences sur le plan social et économique (pour les consommateurs autant que pour les producteurs). Nos deux "experts" (présentés ainsi par Jean-Yves Lalanne, maire de Billère) sont là pour nous le rappeler, pendant qu’en cuisine, tout le monde s’affaire pour nous le prouver.
De la pédagogie, de la rigueur, de l’engagement et un peu d’humour ("les experts" doublement amis... "amis-amis", comme l’a dit avec malice Philippe Berthélémy) : tous les ingrédients sont là pour réussir une bonne recette ! À suivre...

Graines de vie... suite !

Le suivi du projet au jardin et ailleurs.

publié le 13 décembre 2020

Le projet "Graines de Vie" est le fruit d’une construction partagée entre la Cie Les Petits Mouchoirs et l’Ehpad "Portes du Béarn" à Garlin.
Cette aventure collective est née d’une envie de changement et d’ouverture d’un EHPAD sur son territoire, en prenant pour prétexte la semaine bleue en octobre 2019.
Le thème, "Pour une société respectueuse de la planète, ensemble agissons !" a déclenché un mouvement de mobilisation, dans une approche plurielle et singulière.
La création d’un jardin thérapeutique et solidaire par l’EHPAD a impulsé la création du projet...
Le portfolio ci-après correspond à l’expo photo accrochée à Garlin pendant la Semaine Bleue et ailleurs, bientôt !

Le Foirail, vie de quartier (1996/2007)

Expositions photographiques & diaporama à l’Espace de Rencontre du Foirail, à l’occasion du deuxième anniversaire de ce lieu de vie.

publié le 24 mai 2023

Mon premier contact avec le quartier du Foirail s’est fait grâce à mon père, sur le marché aux bestiaux du lundi.
Les transactions avec les paysans dans les bistrots (à l’époque tout en liquide avec des billets de 500 francs que les anciens appelaient les billets de cinquante mille, en référence à l’ancien franc…), les casse-croûtes et autres omelettes à 10h du matin, les rires, les engueulades, les commentaires sur le rugby des campagnes et sur le tiercé de la veille (époque Roquépine…). Bref, des souvenirs déjà plein la tête.

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